En cette fin d'année, Ubisoft est sur tous les fronts. The Crew Motorfest, concurrent direct de Forza Horizon, vient tout juste de sortir sur PC et consoles. Dans quelques jours, un certain Assassin's Creed Mirage va aussi débarquer, lui qui fait partie des jeux les plus attendus de 2023. Un certain XDefiant doit également voir le jour prochainement, sans qu'on sache exactement quand. Le 7 décembre prochain, les joueurs pourront aussi se lancer dans Avatar : Frontiers of Pandora, qui se fait désirer depuis plusieurs années. Au cœur de cette période très chargée, le studio vient de prendre une grande décision pour son avenir.

Un changement important pour Ubisoft annoncé officiellement

Dans un communiqué, Ubisoft annonce un important changement à la tête de son studio parisien. Jean-François Capizzi, qui était jusqu'alors producteur exécutif de la franchise Ghost Recon, devient le nouveau Directeur Général d’Ubisoft Paris. Le Français a notamment travaillé sur le très bon Ghost Recon Wildlands, mais également sur le moins mémorable Breakpoint sorti en 2019. Jean-François Capizzi exprime toute sa joie d'occuper ce nouveau rôle dans le communiqué partagée par l'entreprise. Il se dit « fier et honoré » de prendre la direction des équipes d'Ubisoft Paris.

J’aurai à cœur de leur apporter tout le soutien nécessaire dans la réalisation d’écosystèmes de jeu mémorables pour nos joueuses et joueurs du monde entier ! 

Jean-François Capizzi aura environ 1000 personnes sous sa responsabilité à la tête du studio. Rappelons qu'Ubisoft Paris est le studio à l'origine des jeux Just Dance, dont le prochain épisode Just Dance 2024 Edition est attendu pour le 24 octobre prochain. Ubisoft Paris s'est aussi distingué grâce au développement de plusieurs titres de la saga Rayman ou encore les Lapins Crétins.

Récemment, le groupe français présent dans plusieurs pays du monde avait fait parler de lui pour une nouvelle beaucoup moins reluisante. Le 11 septembre dernier, les équipes d'Ubisoft Montréal ont reçu la consigne de revenir travailler en présentiel au moins deux jours par semaine après trois ans de télétravail. Une instruction qui a suscité l'indignation alors que l'entreprise promettait de maintenir des conditions de travail souples sur le long terme.